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Depuis un petit moment déjà (mai 2020 ?), nous envisagions de remonter au Taoumé, sommet emblématique des écrits de Marcel PAGNOL (dont on n’a pas fini d’entendre parler avec l’ouverture prochaine du Musée), l’occasion était toute trouvée avec la venue de Stéphane pour le week-end de Pâques.

Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques

Après le sable de la Dune (samedi) et celui lié aux travaux (dimanche), le lundi était presque exclusivement consacré aux terres allaudiennes de couleur chocolat par endroit, pour tenter d’éliminer les excès… chocolatés. A cause des grosses pierres au niveau du parking habituel, près de l’aire de retournement des pompiers, Titine s’est fadée une montée pour rien, tout en haut du Chemin du Garlaban, avant de revenir siester avec les copines au parking du cimetière des Claous, proche du ranch. Quelques canassons ont déposé leurs ballotins de crottin, entre cerisiers en fleurs et asphalte très vite ascendant, la balade est rapidement dans le thème printanier, après nous savons que les collines doivent se gagner ! Première halte au niveau du Col de Cante-Perdix, les explications sur le Massif de l’Étoile, Aire de la Moure, Pilon du Roy, Mont Julien etc. nous permettent de souffler quelques instants, nous délaissons le sentier bleu préconisé (à droite) pour filer tout droit direction les Escaouprès, pas si loin ni tout près.

Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques

Le beau temps est de la partie, ciel bien bleu et sans vent, et la compagnie agréable, nous avalons la sente dite raccourci en un temps minimum, appréciant juste les premiers cistes cotonneux, muscaris ou romarins en fleurs dégustées par les insectes butineurs. Doublés ensuite par plusieurs vététistes sur la large piste DFCI, la colline est en fait plutôt calme, plus aucun chasseurs ni scolaires, juste quelques traces de leur récent passage (et les précédents) lors des journées de reboisement. La source des Escaouprès est désespérément à sec, on comprend mieux pourquoi seulement une replantation sur trois va finalement s’en sortir. En nous retournant plusieurs fois, nous avons vu la cité phocéenne s’éloigner, nous distinguons désormais parfaitement bien les Stade Vélodrome, Tour Méditerranée ou Notre-Dame-de-la-Garde comme autant de repères entre le Massif de Marseilleveyre et la Côte Bleue après l’Estaque.

Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques

Fini de glandouiller, au contraire des deux personnes qui ont grimpé sur la Pounche des Escaouprès, nous les apercevons au travers de la végétation qui a élu domicile (comme de nombreux têtards) autour de la mare, bien alimentée pour le coup. Après la piste assez pépère, nous plantons les bâtons direction les hauteurs du Taoumé en suivant le tracé jaune, finalement nous sommes dépassés par ces deux jeunes femmes vaillantes et sympathiques. Celles-ci ont poussé la délicatesse à baisser le volume sonore de leur enceinte, d’échanger quelques mots puis de filer en plaisantant. On retrouve leurs sac-à-dos (rempli de chips...) posés devant la Grotte du Grosibou où, malgré tous nos efforts, nous ne réussirons probablement jamais à nous faufiler dans la fissure de la paroi…

Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques

Un grand MERCI donc à nos deux nanas toniques, Anna et Léna, habitantes de La Valentine et Plan-de-Cuques, nous pouvons enfin voir l’intérieur, et la sortie, de ladite grotte grâce à leur complicité. Allez, encore une centaine de mètres et nous sommes posés sur le toit du coin, le Pic du Taoumé à 677m d’altitude, en face du géant Garlaban d’un côté, les Falaises Soubeyranes au loin, on voit jusqu’à la Montagne Sainte Victoire étalée de tout son long et même quelques sommets encore enneigés des Alpilles…

Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques

Sur la crête du Taoumé nous croiserons beaucoup plus de promeneurs et randonneurs que d’habitude, et bien que nous soyons les premiers arrivés au Col de Baume Sourne (dès 11h30), nous serons plusieurs groupes à pique-niquer ici à l’ombre des pins, au croisement de plusieurs sentiers et piste. Certains arrivent de la Baume Sourne désormais clôturée, d’autres du Garlaban ou de la Treille, un couple de retraités anglais (avec guide local) précéde une bruyante motocross en principe interdite : Amazing !

Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques
Anna & Léna : les nanas toniques

Abstraction faite de bruyants voisins au chien impoli, nous apprécions l'instant, puis nous filons avec entrain boostés par la quille de rosé et le pâté maison (merci Steph), via cette piste descendante et très roulante pour les VTT, avec le soleil tournant, les points de vue sur Marseille ne sont plus tout à fait les mêmes. 4h20 et 12 bornes plus tard, nous retrouvons avec plaisir ma Titine (qui aura pris un peu l’air), et surtout nos deux jeunes dynamiques garées juste derrière nous, salut les filles des collines et à la revoyure !
Éric

Les filles des collines : Anna & Léna, bien sympas ces selfies de Grosibou

 

Tag(s) : #Allauch, #Sentes & côtes

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