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ENFIN de retour dans nos collines, à pouvoir enchaîner les élévations locales (D+/-353m), plaisir doublé par la présence de nos amis Catherine & Michel, satisfaits Bretons d’origine de ce ciel changeant de mi-novembre.

Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut

Depuis des semaines que je patiente, je crois que même sous la neige j’aurai enfilé les godasses, le premier casse-pattes goudronné du Chemin du Garlaban refroidit à peine notre motivation première. Sportif accompli (bien que légèrement diminué actuellement), Michel joue haut d’ordinaire, beaucoup plus que nous autres réunis, le Taoumé ou même le Garlaban en courant depuis chez nous. La piste DFCI pour le Col de Cante-Perdrix est avalée en peu de temps, le sol est mouillé plus que détrempé, le brouillard accentue cette sensation humide. Impossible d’apercevoir Marseille dans la brume, encore moins les massifs d’ordinaire si proches, tout autour de l’Aire de la Moure et qu’on sort… ira, plus tard avec le soleil.

Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut

Oublions également Tête Rouge, je ne leur parlerai pas non plus des anciennes mines de bauxite en contrebas, concentrons-nous sur le sol et les dalles du Pas dei Menoun, bien gravé par les bergers d’antan, juste à côté de la dalle du soldat et d’une femme de profil, bien difficiles à discerner désormais, contrairement aux fois précédentes sous un ciel des plus lumineux. De loin, nous leur montrons le Seuil des Bartavelles (en désignant la grotte où nous irons une autre fois) pour nous rapprocher de la Grotte de l’Étoile, théoriquement en contrebas de notre position sur le sentier bleu. Une, deux, puis trois mauvaises pistes sur la droite (griffures et regrets), enfin le bon « embranchement » pour ce qui devait être l’apothéose de la sortie avec toute la pluie tombée…

Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut

Plouf ! Là aussi, ça tombe à l’eau, aucun ruissellement du fonds de la résurgence, même pas de jolies photos, non plus le carnet des scouts (on en avait croisé un peu plus bas) pour signaler notre passage dans cette grotte à la peinture d’entrée désormais effacée. Grrr ! la grisaille m’envahit, le décès d’un bon camarade de jeu la veille (Michel JOUAUX, célèbre non-voyant de l’émission DCDL, lire plus bas) occupe tout mon esprit grisonnant à l’image de ma barbe… Heureusement, la Source du Chien et ses légendaires roseaux nous apportent du réconfort, les amis aussi semblent apprécier ce lieu surprenant et son petit barrage.

Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut

Tandis que des trailers s’échinent à remonter le sentier du Vallon des Escaouprès, nous retrouvons quelques-unes des gravures (toutes bien répertoriées par ailleurs), les ostensoirs, rosaces et autres signatures des Allaudiens (PÈBRE, MARTIN, NÉGREL et… MICHEL) des siècles précédents. Nous ne revoyons pas non plus la non-officielle « source Nicole », occupés pourtant à remonter ce(s) ruisseau(x) par la partie semi-immergée des grandes dalles. Enfin les marmites dites de géant tapent dans nos yeux séduits, même le grand astre a décidé d’envoyer quelques rayons lumineux.

Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut
Michel joue haut

Comptons une bonne demi-heure pour remonter cette pente douce, bâtons, senteurs des thyms et romarins, pauses comprises, le vallon s’illumine, les nuages filent au-dessus du Taoumé qui a du mal à s‘en débarrasser, cahin-caha nous arrivons au pied de la Pounche des Escaouprès. 10, 20, 60, 80km dans les cannes pour les plus résistants partis à minuit de Pichauris, certains trailers trainent la patte, nous-même commençons à être dans le dur après des semaines « tout à plat » (dans tous les sens de l’expression). Malgré quelques dérangeants vélos électriques, nous redescendons la DFCI classique sous un soleil à peine voilé désormais, se promettant de revenir au plus vite dans les collines au terme de 9km et 3h de temps.

Éric

Michel joue hautMichel joue hautMichel joue haut
Tag(s) : #Allauch, #Sentes & côtes

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