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Première sortie ensemble dans les collines d’Allauch avec nos amis « Cath & Mich », pas du tout Américains mais Bretons d’origine.

"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine

Nos voisins et amis concarnois avaient accepté de s’en remettre à mon « expertise » du coin, départ relativement tôt avant 9h pour éviter la chaleur, enfin de mise, dans la moitié sud après des semaines d’orage. Trop occupés à discuter dès le départ du parking du cimetière des Claous, nous en oublions presque la première élévation en direction de Chante Colline, centre chrétien de vacances sans hébergement, au niveau du Col de la Mine. Depuis ce spot de moyenne altitude, tout le Massif de l’Étoile s’offre une première fois à nos objectifs, on aperçoit également les églises d’Allauch et de Notre-Dame-de-la Garde. Un peu en dessous, le sentier est bien dessiné et s’enfonce vers le Col de la Double Aiguille où je n’avais pas été depuis quelques années, une autre sente beaucoup moins entretenue part, à main gauche en contrebas, vers l’autre « ranch » du secteur à savoir le Centre Équestre du Domaine de la Tête Blanche.

"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine

Si le contraste ciel bleu, terre rouge, verdure et floraisons diverses est bien marqué, ce n’est pas le cas des directions à prendre, il n’y a par ici aucune trace à suivre sinon celle de l’instinct. À trop discuter des enfants d’un côté, des balades ou du sport devant, j’en ai loupé le « bon » embranchement qui aurait dû nous laisser en hauteur pour traverser le secteur des anciennes mines de bauxite. Une argiope (araignée) par ici, un papillon jaune de Provence par-là, pas mal d’iules noirs (vers) ou d’escargots blancs (limaçouns) en promenade, nos compagnons de sortie sont beaucoup plus nombreux que les humains ce matin en collines.

"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine

Impossible de traverser cette propriété privée, je conviens de contourner « Tête Blanche » par la large piste ascendante, montante, montante, montante, sans ombre ou si peu, internet me dit clairement aujourd’hui tout le dénivelé avalé (+230m), Nath et Cath tirent la langue, Eric est en nage, même le grand sportif Mich commence à transpirer… et à être inspiré par la hauteur des roches. Alors que la discussion a tourné autour des menhirs de Carnac (une quarantaine de « cailloux » détruits par le maire pour y construire un Mr Bricolage), le copain verrait bien sur cette façade nos quatre tronches de gravées, façon Mont Rushmore, une vision furtive de notre passage sur un mémorial, pourquoi pas ! Le soleil tape déjà bien haut, pas beaucoup d’insectes butineurs malgré quelques jolis cistes ou immortelles, dans ces collines aussi il faudrait plus de ruches, « more ruches » pour plaisanter, alors que le rush des abeilles-touristes a déjà débuté sur la côte.

"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine
"More ruches" à l'américaine

Au croisement des pistes du Vallon de l’Amandier, Plaine de la Grosse et des Escaouprès, trois vététistes nous abandonnent à nôtre sort pas du tout triste, enfin un raccourci pour nous permettre de redescendre un peu en direction du Col de Cante-Perdrix, que nos amis connaissaient déjà. Pause fraîcheur et croissants, et nous voilà repartis en ayant salué nos quatre seuls congénères de retour au bercail, peu habituée à marcher, Catherine acceptait toutefois sans rechigner d’en remettre encore un peu dans cette si paisible colline. Du coup, je visualisais bien l’objet de la méprise avec toute cette bauxite en contrebas, ça sera pour une prochaine fois, désolé les amis… Bref, près de deux heures (et 6kms) que nous sommes partis et nous revoici du côté des vestiges de la mine, le ciel et la vue sur Marseille ne sont déjà plus les mêmes, et nos têtes non plus d’ailleurs, pas vraiment des figures de gravures de mode mais bienheureux de s’être aérés en bonne compagnie. À refaire !

Éric

 

Tag(s) : #Allauch, #Sentes & côtes

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