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D’ordinaire, nous randonnons souvent seuls en collines, c’était plutôt l’effervescence en ce dernier dimanche de janvier, synonyme de Grand Prix cycliste La Marseillaise et de Trail La Galinette, bien que sous un grand ciel bleu, Pichauris était rouge de monde et de plaisir.

En piste, à pinces, à vélo
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En piste, à pinces, à vélo
En piste, à pinces, à vélo
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En piste, à pinces, à vélo
En piste, à pinces, à vélo

En piste, à pinces, à vélo, le secteur était densément parcouru comme détaillé la dernière fois. Alors que nôtre sport était purement amical, les compétiteurs devant se manger 12 (facile), 26 (ça tire) mais surtout 46 bornes avec 3000m de dénivelé, n’avaient que très peu de choses à se raconter. Au contraire des amis sur le bord de la route, au Col du Régage à 481m d’altitude, bière ou merguez en bouche, parfois des écharpes ou des mascottes d’encouragements, pour les cyclistes pros attendus vers les 12h45.

En piste, à pinces, à vélo
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En piste, à pinces, à vélo
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Un premier départ fictif au village de Château-Gombert, puis un autre vers 12h30 donné par notre maire sur Allauch, et voilà une première dizaine de km avalés vitesse grand V, bien connue de tous les amateurs de la région, la Route du Terme (et non des Termes…) connaissait  une effervescence inhabituelle. Dès son sommet, quelques échappés s’illustraient pour traverser Peypin et arriver ici, au sommet du Régage où un premier challenge Louis (Amédée) ROSTOLLAN était disputé. Nous ne connaissions pas DEBEAUMARCHÉ, le bien nommé, on a beau marcher souvent à deux dans le coin...

En piste, à pinces, à vélo
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En piste, à pinces, à vélo
En piste, à pinces, à vélo

L’ancien champion décédé il y a peu, surnommé « Pétrolette », aurait probablement souligné les efforts des coéquipiers, comme du temps où lui servait Jacques ANQUETIL. Depuis nôtre coin repas en léger surplomb dans un virage, ce sont d’abord des motards, forces de l’ordre et presse, puis les coureurs à deux pas de nous, que nous aurons bien du mal à reconnaitre, dissimulés sous leurs casques et leurs lunettes, en quelques minutes (peut-être cinq) toute la course était passé, voiture-balai y compris, mais rien de publicitaire ici hormis les voitures des organisateurs, médias ou directeurs sportifs dont certaines, flambant neuves, retrouveront la grande caravane Tour de France d’ici quelques mois.

En piste, à pinces, à vélo
En piste, à pinces, à vélo
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En piste, à pinces, à vélo
En piste, à pinces, à vélo
En piste, à pinces, à vélo
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Quelques grands champions avaient fait le déplacement pour l’ouverture de saison, on a eu besoin de toute l’expertise de Vincent pour retrouver les Bauke MOLLEMA, Tom SKUJINS, Philippe GILBERT (champion du monde Belge), Benoit COSNEFROY, Guillaume MARTIN, Bryan COQUARD, Maxime BOUET, Thibaud PINOT… sans oublier Amaury CAPIOT, vainqueur Belge de cette 44e édition, au terme d’un sprint devant le Stade Vélodrome. Conclusion pour ces champions d’une longue journée de 174km passant notamment par le Col de l’Espigoulier, la Route des Crêtes, La Ciotat, Roquefort-la Bedoule, Col de la Gineste ou Cassis, dont les images télévisées à partir de 15h15 ont fini de nous épater… et de siester ensuite, après cette journée intense, sans pétrole ni pétrolette !

Éric

 

Tag(s) : #Allauch

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