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Calanque olé
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Calanque olé
Calanque olé
Calanque olé

Suite Quel régal de pouvoir de nouveau parcourir les calanques sans s’essouffler (de trop), un gobelet à la main entre amis sans penser aux conséquences, descendre et surtout remonter du bord de l’eau à tout là-haut se ferait presque le sourire aux lèvres. Calanque, olé ! Nôtre toréro guide et photographie le troupeau en plein effort sous le pont où le tortillard de la Côte Bleue passe lui aussi au ralenti. Nous avançons dans le vallon pour de nouveau remonter en direction du Fort de Figuerolles. La vue devient encore plus belle sinon folle, la mer commence à se friper, et donc le vent à se lever comme prévu. Au loin la croix de La Vesse, encore plus derrière le Fort de Niolon où nous irons probablement plus tard…

Calanque olé
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Calanque olé
Calanque olé
Calanque olé
Calanque olé
Calanque olé

Tous ceux croisés ce matin ont probablement pique-niqué autour de cette batterie militaire des années 1880-1890, véritable poste de surveillance de la rade marseillaise. Tout autour, les éléments nous séduisent à chaque regard, il faut pourtant se résigner à repartir de ce spot panoramique. Nous empruntons quelques centaines de mètres la fameuse « Route Pompidou » construite dans les 70’s afin de promouvoir des constructions de ce côté-là du littoral, projet fort heureusement… tombé à l’eau. Un cairn à droite nous indique le chemin du sentier jaune qui va redescendre en suivant la sinuosité des roches, Nathalie en profite pour récupérer et géolocaliser son second thym du jour.

Calanque olé
Calanque olé
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Calanque olé
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Calanque olé
Calanque olé
Calanque olé
Calanque olé
Calanque olé
Calanque olé
Calanque olé

La chaleur n’est pas écrasante, aucune foule bien au contraire, du vert, du bleu, du jaune, du blanc, du gris, toute la palette séduisante du coin nous aguiche à n’en plus finir, même les petites ascensions qui tirent sur nos mollets sont appréciées une heure durant pour rentrer, soit deux heures depuis le pastis « réparateur ». On retrouve nos rails et nos tunnels, puis bientôt la croisée avec le sentier bleu du matin, enfin nous apercevons le blanc hôtel du Resquiadou (« lieu où l’on glisse » en provençal) à l’entrée du tunnel du même nom où nous étions garés quelques 11km et 4h30 plus tôt. Si Le Rove est géographiquement connu pour ses chèvres, elle l’est également pour cette chaîne qui s’étire de l’Estaque à La Nerthe (« myrte ») dont la façade maritime, aux rivages escarpés et découpés en profondes calanques, forme la Côte Bleue.

Éric

 

Tag(s) : #Bords d'eau & Calanques

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