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Au deuxième jour, le temps menaçant nous poussait vers le Nord du Pays Basque, à la découverte d’Anglet.

Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !

Par hasard, nous apprenions que la frégate l’Hermione était actuellement en cale sèche du côté du port de Bayonne, situé à Anglet donc, pour « le grand carénage » à savoir une révision de fond en comble du navire, depuis septembre 2021. Après avoir découvert une sorte de champignons qui s’en prenait à la coque en bois du bateau, décision a été prise de lui trouver un radoub assez important, dans sa région d’origine (son port d’attache originel étant Rochefort / La Rochelle), pour de longs mois d’inspection et de travaux, jusqu’en 2023 minimum. Avec notre jeune guide colombien Andrès, ancien avocat au parcours changé / cabossé / chaotique comme la plupart des embarqués dans cette aventure associative, nous avons deux heures durant passé d’un pont à l’autre, d’une cabine au réfectoire, de l’atelier charpente aux tirs de canons etc. dans les pas des équipages de marins actuels mais aussi sur les traces des officiers tels La Fayette, et confrères dirigeant a minima 300 hommes à l’époque, au combat face à nos meilleurs ennemis : les Anglais ! Huniers, gabier(e)s, canonniers… n’ont quasiment plus aucun secret, le navire de combat à la tête de lion, bleu et jaune, nous a captivé le temps d’une matinée au 18e siècle.

Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !
Angloyes, tirez les premiers !

Nous avons ensuite hissé « la grande voile » pour déjeuner, depuis la plage des Corsaires à celle du VVF en passant par Marinella ou les Sables d’Or (25° air 23° eau) le long de la promenade du littoral (4.2km), baignade interdite à cause des baïnes (forts courants) mais pas pour les surfeurs. Ces rebelles d’angloyes, comme les stickeurs parisiens ou des South Winners actuels, rivalisaient de culot face à la plage de la petite Chambre d’Amour, lieu hautement réputé au début du XXe siècle, lorsque « premiers bains » et romantisme rimaient encore. Là de nos jours, à l’ombre du phare de Biarritz, la légende de la Grotte de la Chambre d’Amour, des amoureux Laorens et Saubade emportés par un violent orage, nous laissaient dubitatifs voire perplexes au moment de remonter « Anglet Surf Avenue » où tant de champions ont laissé leurs empreintes (la photo Nat Young... pour le clin d’œil nostalgique).
Messieurs (-dames) les Angloyes, tirez les premiers !

Éric

 

Tag(s) : #VVW

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