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Titre alambiqué pour se faire l’intégralité des calanques (dites) de Cassis, à trois légèrement diminués, dont deux finiront plus cassés qu’assis…

Des trois cas lents que deux qu’assis
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Malgré sa légère blessure au genou, le badiste Vincent consentait à nous accompagner pour faire la passe des trois calanques cassido-marseillaises, depuis l’initiale charmante de Port-Miou à l’envoûtante En-Vau, en passant par la souvent fréquentée Port-Pin. Si la première s’éveillait tout doucement avec les premières mises à l’eau (parking réservé aux ayants droits), le facile cheminement autorisait le fait de musarder au rythme des voiliers qui lèvent l’ancre ou des premiers escaladeurs de falaise. En trente minutes depuis la Presqu’île, nous avons fait le tour de cette étroite mais profonde calanque, la seule cassidaine finalement puisque celle de Port-Pin est située sur le territoire de Vaufrèges à Marseille. Après trois infructueuses tentatives précédentes, nous tombons enfin sur le trou souffleur de la Pointe de Port-Pin, une particularité que d’entendre l’air sortir par ce minuscule trou sous l’effet des vagues. L’endroit est marqué par trois petits points verts assez peu visibles, proche d'un gros rocher.

Des trois cas lents que deux qu’assis
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Alors que les moins alertes ont opté pour la piste, nous descendons par « l’escalier » de pierres usées (et donc glissantes) pour la seconde calanque que nous voyons depuis quelques instants, beaucoup s’assoiront là pour pique-niquer ou se baigner, nous tirons tout droit toujours par le sentier de randonnée. Arrivés dans les temps requis au Portalet d’en Vau, nous descendons par le raccourci estampillé « accès difficile », ce rouge&blanc se fait par moments sur le cul (grandes marches lisses) et d’autres en chasse-neige ou de travers tant les pierres sont nombreuses. Nous sommes toujours dans les temps malgré tout, en environ 1h45 la sublime calanque d’en-Vau s’ouvre à nous, pile poil pour piquer une tête avant l’apéro.

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Comme il y a trois ans (!) à Sormiou, nous apprécions le potentiel dernier bain de l’année, quasiment dans des conditions similaires avec des eaux sublimes et « ces mamans touristes qui débutent leurs vacances de Toussaint en culotte, voire topless, à profiter de la sensation paradisiaque des lieux, des 21° de l’eau, 23° dans l’air, un 21 17 octobre ! ».

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Après le réconfort (en un seul mot), l’effort nous hisse pour plus d’une heure de montée direction la Gardiole cette fois-ci, là-même où nous avions croisé en mai 2018 un sanglier à la Maison Forestière, rejointe à l’époque par la Gineste. Après le Belvédère d’en-Vau en septembre 2020, nôtre troisième accès différent nous emmène loin des calanques encaissées, dans ce plateau du massif avec ces sublimes Falaises Soubeyrane en point de mire. Sous le soleil de l’après-midi, tout un alignement parfaitement ocre avec la Baou de la Saoupe ou la Couronne de Charlemagne que nous connaissons désormais (presque) par cœur ; le soleil nous a (presque) manqué dans la calanque intégralement à l’ombre pour pique-niquer, le voilà généreux sur la calanque de Port-Miou atteinte en 1h30, sans avoir croisé dégun depuis le col.
Au bilan, un chouette enchaînement de 14km en 5h top chrono, la méga-satisfaction du bain en eau turquoise, presque au calme automnal, sans trop de courbatures malgré dos ou gril costal qui sifflent et genoux qui grincent. Marseillais, asseyez-vous !

Éric

 

Tag(s) : #Bords d'eau & Calanques, #Sentes & côtes

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