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D’un centre équestre à l’autre, un mois après Elsa, j’ai emmené Nath découvrir un nouvel itinéraire des plus courts (1h15 pour 4km5) autour de la Double Aiguille.

A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille

L’église d’Allauch venait de sonner 8h30 en ce dimanche de l’Assomption, que nous attaquons le chemin de la colline pour l’entendre chanter, le Col de la Mine est avalé en quelques minutes, nous croisons un trio de coureurs sur la fin, nous sommes en retard. La chaleur caniculaire ne va pas tarder, le ciel est dégagé, le vent absent, le panorama prend déjà tous nos sens.

A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille

Sentier extrêmement facile, en quelques tours de manivelles et de trotteuses, nous sommes au pied du Col de la Double Aiguille ; Nath a aperçu quelques fois dans son objectif le ranch en contrebas, nous restons focus sur les hauteurs, nous sommes dans la verdure là où Marseille c(r)oule sous l'halo de la pollution, ça en jette tout de même !

A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille

Une désescalade plus tard, le sentier toujours bien marqué nous envoie sur la large piste, main gauche par deux fois et nous retrouvons le sous-bois, là où les aiguilles sont désormais de pins, les cigales chantent toujours leur sérénade. Toujours à l’ombre, quel régal de contempler tout en respirant le grand air semble nous dire notre premier équidé rencontré, attiré par mon t-shirt rouge.

A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille

De la même couleur que Tête Blanche que nous avons contournée, le pensionnaire du centre équestre doit subir les contraintes d’une épidémie de rhinopneumonie, nous ne caresserons donc pas les chevaux, ânes, biquettes et autres poneys qui d’ordinaire ne manquent pas de contact social.

A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille
A l’heure de la double aiguille

Chrono en main, nous longeons les ruches (en loupant les deux lapins, Alice !!!) au pays des abeilles, pour reprendre la sente plus touffue jusqu’à l’intersection marquée d’une pierre « la folie », inaperçue l’autre jour. Nous avons remonté le dénivelé, bien peu conséquent, en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, sautant à pieds joints sur la bauxite du sol de Chante Colline pendant que d’autres, mains jointes, s’extasiaient devant Sainte Marie montée au ciel. Ainsi soit-il.

Éric

A l’heure de la double aiguilleA l’heure de la double aiguille
Tag(s) : #Allauch, #Sentes & côtes

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