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De retour du « Circo Splendido » de chez Big Mamma, improvisation d’une longue promenade digestive autour du Vieux-Port, après la balade maritime matinale.

CD avant CDI
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Après une excellente restauration et l'amusement des filles (et Cap’tain Loïc) ayant goûté aux joies du photomaton dans les toilettes, nous voici repartis de la rue de la République pour l’Église St Ferréol dans une effervescence hors pair, pont du 8 mai oblige. Des centaines et des centaines de touristes tentent d’attraper un petit train ou un bateau, les terrasses aussi croulent sous les demandes à 14h passées. Du Quai des Belges bouillonnant à celui du Port rugissant, on entend vraiment parler toutes les langues (anglais, néerlandais, allemand, pays russophones ou asiatiques), chaque échoppe tourne à plein régime, qui achète son savon (pas toujours de Marseille), qui veut sa bouillabaisse (ou soupe de poissons…), qui sa marinière, ses espadrilles ou ses santons. D’une arcade à l’autre, nous nous frayons un passage en s’arrêtant quelques instants devant la brasserie « Le Mistral », les photos de Fernandel ou le pizzaïolo napolitain fier de son récent titre de Champion d’Italie.

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À deux jours de la Journée de l’Europe (9 mai), Marseille la cosmopolite a sorti ses atouts et talents, je ne parle pas forcément du Maire surpris en train de chanter « Magnolias for ever » au Carnaval de la veille. En vingt minutes nous arrivons sur l’Esplanade du J4, Chloé apprécie les infos sur la grotte Cosquer ou « la Major » que nous avions découvert l’été dernier. Quelques heures plus tard, nous voyons sous une lumière différente les imposants Palais du Pharo ou Tour du Fanal à l’entrée du port, puis nous entrons dans le Mucem pour atteindre la passerelle qui nous permettra de ressortir en direction du Fort Saint-Jean, intéressant cheminement à l’ombre de cette dentelle architecturale.

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Un petit peu de verdure (lavandes, ailantes…) dans ce champs minéral et un monde culturel, gratuit, aux yeux de tous, notamment la forteresse érigée par Vauban et la Tour carrée du Roi René en point culminant, avant d’emprunter l’autre passerelle du parvis St Jean au-dessus du Mémorial des Déportations. Face à l’Église Saint-Laurent, une statue de bronze de 1911 « Le dresseur d’oursons » (saltimbanque avec tambourin et deux oursons) signée Louis Botinelly, trône sur l’esplanade de la Tourette que nous traversons sans injurier qui que ce soit, malgré quelques accents pointus et porteurs de chapeaux de paille bien impolis…

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Quelques centaines de mètres plus loin, nous apercevons de nouveau ND De la Garde puis l’hôtel Intercontinental, en redescendant les marches (comme nous l’avions fait le dernier jour de 2022) jusqu’à la statue-janus de Pythéas et Euthymènes, nous retombons sur la foule des grands jours tiraillée entre le Panier, le Frioul, la Canebière ou en quête du Métro Vieux-Port, bien dissimulé derrière ces travaux. « CD » comme Chloé Dimanche, Contrat Digestion ou « 400 » en chiffres romains, comme le numéro de nos sorties diverses depuis septembre 2016, contrat à durée indéterminée. Quel cirque !

Éric

 

Tag(s) : #Villes & villages

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