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Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop

Seconde partie du Sentier du Littoral, mais deuxième depuis Gigaro entre les Cap Lardier et Cap Taillat, où la vue dégagée tout du long donne encore plus d’espoirs et de motivation quant à avaler un dénivelé alternant le niveau zéro à celui beaucoup plus haut. Le sentier n’est pas large, parfois ombragé, rarement on peut se croiser (ou se doubler) dans cette succession de roches parfois glissantes, d’escaliers naturels ou pas, de planches en guise de passerelle. En nous éloignant du premier cap, malgré le contre-jour du soleil sur la mer, nous devinons bien les flancs battus par les flots et les vents en cas de mauvais temps.

Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
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Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop

Pas vraiment le cas aujourd’hui, d’ailleurs quelques audacieuses ont trempé plus que les pieds dans la première crique, j’en aurai bien envie mais sachant la « longueur » du chemin retour (malgré de bonnes jambes ce jour), sans en connaitre la difficulté, j’annule le projet. Quelques sacs-à-dos nous précédent à flanc de colline, d’autres cavalent presque pour atteindre la plage, nous les gardons en point de mire comme ce Cap Taillat reconnaissable entre tous, au bout de sa double plage qui fait penser à un tombolo ou une digue de loin.

Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
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Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop

L’état du chemin de progression est ici aussi assez changeant, dix mètres tout plat, une longue montée, une courte descente, re-plat entre les marches naturelles et glissantes. On prend le temps de photographier le coin, nous avons mis bien plus que recommandé pour arriver à la grande plage de Briande, occupée par des dizaines de marcheurs ou promeneurs pour la plupart venant d’en face de nous.

Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop
Trop' c'est trop

Après les pins tordus (ou brûlés…) comme des parisiens bobos de passage et les belles mais toutes petites calanquettes, la promesse d’un coup à boire au snack tombe à l’eau en même temps que les règles d’usage de priorité, bref nous n’irons pas plus loin, déçus comme cet autre blogueur : « Cette plage n'est accessible qu'à pied. Les quelques maisons à l'arrière sont privées et on n'y trouve que quelques rares locations. La plupart des personnes qui se trouvent sur cette plage viennent de l'Escalet. Nous sortons donc de la zone centrale sauvage de la randonnée pour nous retrouver dans un terrain plus facile d'accès pour tout le monde ». Enfin garés à 11h, après 2h de route, sustentés à 13h sans avoir vu grand-chose, dépités à 14h30 malgré une deuxième partie sympa, plus l’envie de « monter » au dolmen ou au Cap « ravagé » par l’incendie, nous avons encore mis quasiment 1h30 à revenir…puis encore deux heures à rentrer, à croire que tous étaient ce dimanche à visiter le coin Ramatuelle-Saint Trop’, c’est Trop’ ! A suivre

Éric

 

Tag(s) : #Bords d'eau & Calanques, #Sentes & côtes

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