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Escapade varoise ce dernier dimanche de janvier où, après les palmiers d’Hyères et les mimosas de Bormes, nous espérons en prendre plein les yeux au Cap Lardier, espace naturel protégé.

Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards

Sous des températures les plus clémentes pour la saison, sans vent ni  nuages, nous nous garons au parking gratuit hors saison de Gigaro, puis prenons quelques minutes pour détailler les panneaux, la plage de Gigaro offrant déjà une belle vue sur la Baie de Cavalaire ou les îles d’Hyères, mais de beaucoup plus loin que cet été en bateau ou en rando « automnale ». Dans ce parc initial au Sentier du Littoral, balisé de jaune, une première originalité avec la présence d’eucalyptus, beaucoup moins communs que les chênes-lièges aperçus dans la forêt domaniale en venant. En parlant biodiversité, nous ne verrons quasiment aucune espèce dans ce maquis du Cap Lardier hormis des dizaines colorés à sac-à-dos, la faune plus silencieuse se cachait probablement attendant les jours meilleurs…

Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
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Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards

En attaquant ledit sentier, fort bien aménagé avec des traverses de chemin de fer, nous passons au plus près de jolies criques, une ancienne maison de pêcheurs, puis un peu plus haut à partir de la plage de Jovat où deux gabians s’amusent à sillonner derrière une embarcation. Nous avons dépassé le secteur de gigantesques pins parasol, le sentier est agréable mais parfois exigeant quand les (premières) marches demandent régulièrement de lever haut la jambe. Déjà la pointe de Brouis, et la plage éponyme qui suit, on apprécie maintenant un soleil généreux, l’absence de VTT sur une trace finalement assez étroite par endroits, les longues étendues de posidonies témoignent d’une eau de bonne qualité en ce moment.

Pas pour les gros lards
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Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards

Nous ne sommes pas les seuls à chercher à souffler (avions-nous trop marché la veille ?), entre deux trouées dans la forêt nous avons parfois aperçu des fonds marins, mais rien d’exceptionnel jusqu’à présent. Nous sommes remontés sur une piste forestière, puis rapidement une longue et raide ascension toujours vers ce Sud qui nous attire pour midi. Mais étant donné le nombre de candidats au pique-nique (dans ce Cap Lardier que nous savons restreint en capacité d’accueil), nous bifurquons en direction du Sémaphore annoncé à 15’.

Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
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Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards
Pas pour les gros lards

Un quart d’heure de montée régulière en effet, pour profiter (un peu) de la vue, de la vieille bâtisse et d’un coin où s’adosser pour soulager dos et cuisses quelques minutes, seuls ou presque. La citerne porte le n°1, contrairement aux tagueurs, nous avons marché beaucoup plus qu’une heure, nous prenons le temps nécessaire avant de réattaquer en direction du Cap Lardier d’abord, puis du Cap Taillat dans la foulée, certainement pas le Cap Camarat tant la distance et le temps nécessaires semblent avoir été sous-estimés. Cette variante nous aura permis de récupérer et, après avoir traversé par une large piste une zone sinistrée par le gros incendie de 2017, d’atteindre en solo le but initial. Depuis ce point de vue appréciable à défaut d’être exceptionnel, nous retrouvons quelques-uns de nos congénères planqués dans le maquis à casser la croûte, le site littoral particulièrement escarpé, le cap proprement dit étant carrément interdit d’accès. Après deux heures (dont 30’ minimum de pause), nous allons ENFIN pouvoir nous régaler avec la partie du sentier entre les deux caps, bord de mer séduisant, mais dénivelé (moyen) et sensations (bonnes) garantis. À SUIVRE parties 2 et 3
Éric

 

Tag(s) : #Bords d'eau & Calanques, #Sentes & côtes

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