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Des plus accessibles en voiture, hors saison, le Col de Sormiou est forcément un point de ralliement et de départ de nombreuses randos, notamment pour aller vers Callelongue ou, comme nous, s’arrêter déjeuner à la Calanque de Podestat.

Podestat, quel pied...
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Rapidement le petit parking était pris d’assaut, dimanche matin mi-janvier à 10h, malgré les températures négatives du matin. Casques et matériels d’escalades, bonnets, gants et simples bâtons de marche, doudounes-jeans sur maillots de bain ou lingerie fine (lire plus loin), à chacun son équipement pour braver le Massif des Calanques, ô combien séduisant sous ce grand ciel bleu, et pour l’heure sans vent. Le sentier commun avec le GR est avalé aussi aisément par les plus jeunes que les anciens, même si cette partie ombragée n’offre que peu d’intérêt à faire une pause, hormis les premières vues sur Marseille, son Vélodrome ou… la station d’épuration en contrebas, dont les effluves remontent jusque-là.

Podestat, quel pied...
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Bien qu’étudiée avant, la rando du jour ne va pas souvent aller dans le bon sens (jambe de plomb, erreurs d’itinéraires, dangerosité pour éviter… le danger), bref, l’aller qui ne devait durer qu’environ une heure dix pour 3km5 (selon Google et plusieurs sites) va nous prendre le double, a minima. Avec l’accroche des premières marches d’une pénibilité sans nom pour l’estropié de service, j’en avais presque oublié le simple petit bonheur d’être là, entre amis, sur mes deux jambes, oups, une guibole un quart, haut le cœur (en) alerte. Sophie, Philippe, Christiane, Sylvie, Devlin ou Sandrine ayant refusé de nous accompagner pour diverses raisons, le seul Vincent doit supporter mon humeur, merci l’ami de perdre ton temps à… nous attendre !

Podestat, quel pied...
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Dépassé dès le Col de Cortiou par un couple de randonneurs, a priori locaux aguerris, nous loupons l’embranchement indiquant l’Escu (en vert, grrr) pour les suivre sur la trace bleue. Du coup, nous montons, montons, montons, parfois avec les mains, juste pour arriver sur la crête alors que nous nous éloignons de la mer… mais pas de la merde. Nous sommes toujours dans le quartier de Sormiou à Marseille, précisément au-dessus du Cirque des Walkyries (et son Bois) dont les formes atypiques ont évoqué un amphithéâtre à Richard Wagner, fortement inspiré par cette partie des calanques. Nous nous garderons bien de « plonger » dans ce vallon assez inhospitalier pour nous contenter d’admirer toute l’étendue et la perspective des Calanques, repères habituels.

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Saint Cyr, Carpiagne, Soubeyranes, Marseilleveyre, tous ces noms évoqués à longueur de blog sont aujourd’hui concurrencés par Plan de Coulon ou Plateau de l’Homme Mort, l’Aiguille de la Melette ou son îlot émergé de l’anse éponyme, beaucoup trop loin pour nous autres n’ayant pas choisi le sentier vert où quelques « vires » demandent trop d’exigence avant et après la Calanque de l’Escu.

Podestat, quel pied...
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Sur le sentier que nous avons récupéré depuis le Pas supérieur de la Melette, nous croisons quelques personnes marchant ou courant depuis là où nous allons en théorie, malgré la croix verte et la mise en garde d’un trailer trentenaire et affûté, nous nous embarquons dans la sente puis dans ce gigantesque pierrier du Vallon de Podestat, grave erreur ! Pour s’éviter le long détour par le Malvallon et la calanque de Marseilleveyre (comme notre couple du début que nous retrouverons au retour), nous avons tenté le pari de descendre par ici, extrêmement glissant sur une trop grande longueur, bref entre les gadins, les glissades et les appréhensions, nous avons fini sur le cul, tous les trois, au propre comme au figuré.

Podestat, quel pied...
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Sur les coups de midi trente (soit 2h10 depuis le panneau indiquant la Grotte Gosquer (sous-marine) que des touristes voulaient visiter LoL), nous retombons sur le vrai sentier noir et/ou GR avec la Calanque de Podestat en point de mire, enfin, en faim après tant d’efforts et un petit dernier pour retrouver le rocher marqué « accès calanque ». Avec le pastis, le rosé et la petite Galette des Rois à la frangipane, sans oublier quelques naïades pour nous redonner le sourire, la matinée était conclue de la plus belle manière qui soit. Avant le chemin retour, tout aussi divers et varié, à suivre.

Éric

 

Tag(s) : #Bords d'eau & Calanques, #Sentes & côtes

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