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Après la touffeur matinale de Sisteron, malgré les vieilles ruelles et la dynamique Durance, le trio de vacanciers s’est jeté à Corps perdu à la recherche d’un coin privilégié pour pique-niquer "à la french".

Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu
Sautet à Corps perdu

Nos guides suprêmes (sur internet) nous envoyèrent après l’aérodrome de Gap-Tallard à bifurquer vers l’étendue d’eau la plus proche, sise à Corps, à la limite de l’Isère et des Hautes Alpes. Au Lac du Sautet plus exactement, lac artificiel créé par l’établissement d’un barrage sur le Drac où les avis décrivaient un panorama d’exception, une plage, une base nautique etc. Belle vue en effet, quelques gros cailloux et bouts de bois flottés, un camping occupé … par endroits, et par des Hollandais, Belges, Allemands, plusieurs tables prises d’assaut, bref, pas de quoi y passer toutes ses vacances non plus ! Après avoir partagé mon sandwich avec une guêpe, pas folle du tout (contrairement aux deux énergumènes croisé(e)s l’heure précédente à Sisteron), nous voilà repartis en plein cagnard avec l’idée de rejoindre, à pinces, ledit barrage au bout de la plage, en théorie… puis de la route, en principe… on finira par y aller en bagnole, à son corps défendant comme l’autre zébrée avait bien fini par abandonner mon jambon. Nous en profiterons pour en apprendre un peu plus sur ladite construction, imposante en effet, sans utiliser bien entendu les sites d’initiation à l’escalade, amusante (?) tyrolienne et autre grimpette dans les cavités avec des guides pros. Pas loin de nous lâcher sous l’effet de la canicule, nos corps à nous préféraient la climatisation non naturelle, direction la capitale iséroise qui baignait sous les 40 degrés avant les orages du week-end. Hôtel du Midi (à 16h), puis visite des copains « bédouins » d’Ariège (vivants donc au Versoud), première pluie fine avant la perte de vingt degrés en autant d’heures, notre week-end grenoblois commençait à prendre... corps.

Éric

 

Tag(s) : #VVW

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