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Pas encore l’estomac dans les talons malgré le dénivelé matinal, pour atteindre le Mont Carpiagne, nous poursuivons vers l’est direction le Mont Lantin qui nous avait laissé un mauvais goût la première fois.

Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita

Juste avant d’apprendre que mon second sandwich était resté dans le coffre de la bagnole (grrr), nous avalons la crête de ce sommet panoramique avant de plonger vers l’arrondi si caractéristique du Lantin, bis repetita, ou deuxième langue pour demeurer dans la métaphore culinaire. Avant de dresser la table (lol), nous croisons un  unique courageux traileur aux oreilles rosies par l’effort et le vent qui se lève, nous refaisons le point au Col du Boucar, toujours ensoleillé mais pas assez à l’abri malgré ses quelques arbres. Les collines semblent nous appeler, on arrivera bientôt à vider nos sacs encombrés de pastis et de sandwichs, a priori.

Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita

Halte au vœu, l’endroit siglé « boucle » est adéquat pour la pause méridienne, à force de lézarder on en oublierait presque le retour, d’autant qu’on voit presque chez nous, d’ici. Échaudée par les contreforts du Lantin à Pâques, nous laissons Nath pour retrouver la tête du mont en passant par les deux brèches Rogier, sur le côté abrupt. Tel un cabri, Vincent avale la difficulté, sans bâtons et l’estomac (semi-)plein, je tire un peu plus la langue… jusqu’à retrouver le sommet du Lantin puis la sente qui permet de rejoindre Nath restée au col.

Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita

Dans ce sens aussi, le Carpiagne est « agréablement » pentu, mais nous mettrons plus que les 35’ recommandés pour retrouver la dalle 646m, les vallons vers St Marcel à droite, la mer droit devant ou les falaises au-delà de la Gineste à gauche, nous « disturbant » sans arrêt ou presque.

Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
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Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita
Lantin, bis repetita

La sente du retour est descendante, donc ça semble forcément plus facile, les Falaises Soubeyranes au-dessus de Cassis ont changé de couleur, les fonds marins du littoral phocéen également, la luminosité a changé avec les heures, prudemment nous regagnons nos pénates au terme d’une bonne balade de 4h20 (pauses comprises) pour une douzaine de kilomètres. Ad vitam eternam ou ad libitum, carpe diem !

Éric

Lantin, bis repetitaLantin, bis repetita
Tag(s) : #Sentes & côtes

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