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Loin d’être à 100%, je profite désormais de chaque sortie pour me refaire une santé, mais compliqué avec les chaleurs de juillet de trouver un parcours exigeant, mais pas trop, efficace sans se mettre dans le rouge, agréable sinon sans personne…et accessible. Nous jetons notre dévolu sur le Pas d’Ouillier, à 20’ de chez nous, pour une (re)découverte du secteur entre Roquefort-la-Bedoule et Ceyreste, quelques vallons, sentiers pentus et vues sur la mer, instagrammables comme disent les moins vieux.

C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !

Après la piste bétonnée de quelques hectomètres déjà empruntée, le GR « Balcons de la Méditerranée » nous mène en contrebas de la piste où la prise de quelques clichés sur la baie de Cassis, la Couronne de Charlemagne puis la Ciotat dans la brume, assurent le bon tempo malgré tout. Quinze minutes plus tard, nous changeons de direction en plongeant main droite dans ce vallon (sans nom ?) coincé entre celui du Diable et celui de Gendame, manque pas d’air ! Le panneau indique Ceyreste (4.1km 1h10 de descente) par « Le Chemin d’Aubagne », nous devrions bifurquer avant. La trace rouge mais plus assurément jaune, trace vers la mer en contrebas par une bonne pente, parfois glissante, sur un sentier agréablement ombragé par endroit jusqu’à atteindre une étendue pinède où le dénivelé s’est calmé en même temps que nous perdions la vue sur les rochers à gauche.

C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !

Pause fraîcheur, l’intersection avec la grande piste nous offre l’option de remonter vers la crête, doublés par 4 vététistes non motorisés, aux mollets saillants donc. Les miens ne sifflent même pas, bien aidé par le Corsaire Trail Running 7/8e déniché (en soldes) chez Décathlon la veille, et bien pratique avec ses 5 poches très discrètes. Les cyclistes se sont arrêtés au cabanon de chasse un peu plus haut, nous les dépassons en oubliant même de jeter un œil sur le vallon du Gendame en contrebas où l’oppidum fera probablement l’objet d’une prochaine visite (ainsi que le gouffre Durand cartographié dans ce coin du Cabanon des Gardes).

C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !
C’est tweetième !

Pour l’heure, nous sommes dans les clous (2h pour environ 7km) sur cette piste très sympa, re-dépassés par nos 4 VTT, sous une bonne chaleur (30° à 10h) pas écrasante du tout, le ciel enfin dégagé nous permet d’entrevoir les sommets alentours (Bertagne, Dents de Roqueforcade, Garlaban…) et de finir avec des envies de tweeter notre petite satisfaction-bonheur du jour.
Pas 100% ni à fond la forme, mais 7/8e et c’est déjà pas mal…

Éric

 

Tag(s) : #Sentes & côtes

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