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A quelques semaines du printemps, certaines plantes locales ont déjà la tête en fleurs, cependant nous regarderons plus vers le ciel, menaçant puis un peu plus clément, que vers le sol durant 2h30-3h (pour 8 à 9km) où Vincent nous a fait l’amitié de venir contempler nos attrayantes collines.

T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !

Depuis le ranch, le petit dénivelé nous hisse à « chante colline », le temps de chauffer les mollets et de jeter un regard approbateur sur l’étendue du massif de l’Étoile, le rouge sort de terre au col de la mine, l’occasion d’expliquer les mines de bauxite d’autrefois. Au col de Cante-Perdrix, nous croisons deux cailles très bavardes en tenue fluo qui salue notre groupe de taiseux revenant de Petite Tête Rouge. Depuis ses 440m de haut, malgré les nuages le relais tv donne un aperçu quasi complet de Marseille et alentours, un (double) arc-en-ciel tranche entre le vert d’en face et le gris d’en haut, le Duché va nous offrir d’autres vues panoramiques.

T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !

Après être redescendus sur la piste très empruntée ce samedi aprem, nous bifurquons par un sentier peu dégagé où les argélas et autres petits chênes kermès griffent nos jambes de pantalon, nous faisons désormais face à PTR avant de s’attaquer à la grande… tête rouge ! Bonne ambiance toujours, silence absolu et point de mire élevé, les cuisses et (certaines) têtes sont montées en température ; Grande Tête Rouge (512m) nous accueille sans vent ni foule, la vision d’un Taoumé luisant, d’un Garlaban grisonnant ou d’Escaouprès si loin si près, nous émerveille pourtant à chaque fois. Panoramique altitude.

T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !

Avec prudence et compagnie, nous descendons comme nous pouvons avec assistance (bâtons, parfois mains ou fesses) jusqu’à l’autoroute DFCI, un petit crochet vers les deux Sources du Laurier (la basse, facile, et la haute bien dissimulée) sans trébucher ni hésiter cette fois-ci, l’expérience à base de répétitions. Puisque la tendance locale est au rouge, même pas cramoisis, nous piquons vers le Col du Puy Rouge, au pied d’un Peynaou dont le chemin du retour passe par un coin d’asperges sauvages très prisé… Comme cela s’accommode plus en omelette qu’avec tapenade et rhum arrangé cahouète, ce sera peanuts pour nous ce soir.

T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !
T'es tout rouge !

Bref, plaisirs variés pour ce bon petit circuit que j’ai toujours satisfaction à partager. T’es tout rouge !??? De petits bonheurs certainement.

Éric

 

Tag(s) : #Allauch, #Sentes & côtes

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